Face aux tentatives de division du mouvement,
Pour le retrait des réformes contestées,
Restons mobilisés !
Programme de rentrée à l'UPV :
Pour le retrait des réformes contestées,
Restons mobilisés !
Programme de rentrée à l'UPV :
- Lundi 20 avril 12h30
(Parvis des Amphis A, B, C) : A.G. des personnels
(Bilan, vote sur les modalités d'actions, préparation de la journée de mercredi).
(Bilan, vote sur les modalités d'actions, préparation de la journée de mercredi).
- Mercredi 22 avril
Journée de mobilisation « De la maternelle à l'Université »
15h30 (UPV) : Départ de la manifestation de l'Université vers le Centre-ville (en liaison avec Montpellier 2, et les enseignants du primaire et du secondaire).
Le gouvernement, relayé par la plupart des médias, veut nous faire croire que le problème des universités est réglé.
Qu'avons-nous obtenu ? Des aménagements qui ne remettent nullement en question le principe de la modulation des services. Le report d¹un an de la mise en application d'un décret de mastérisation dont nous réclamons, depuis maintenant plus de dix semaines, le retrait pur et simple. Rien sur la suppression des postes. Rien sur le projet de contrat doctoral. Et le démantèlement de l'Université et des grands organismes de recherche se poursuit.
La mobilisation pourtant ne faiblit pas : plus de 4000 chercheurs s'engagent à ne plus effectuer d'évaluations pour l'ANR et l'AERES ; la ronde des obstinés n'en finit pas de tourner ; partout en France, sur les campus ou en ville, des actions rappellent notre détermination.
Valérie Pécresse refuse de prendre en compte nos revendications mais dit s'inquiéter des conséquences d'un mouvement dont elle est la seule responsable. Brandissant la menace du semestre blanc et des diplômes dévalorisés, elle tente de nous diviser et de discréditer nos actions.
Plus que jamais, nous devons montrer au gouvernement que nous ne sommes pas dupes et que nous ne céderons pas.
15h30 (UPV) : Départ de la manifestation de l'Université vers le Centre-ville (en liaison avec Montpellier 2, et les enseignants du primaire et du secondaire).
Le gouvernement, relayé par la plupart des médias, veut nous faire croire que le problème des universités est réglé.
Qu'avons-nous obtenu ? Des aménagements qui ne remettent nullement en question le principe de la modulation des services. Le report d¹un an de la mise en application d'un décret de mastérisation dont nous réclamons, depuis maintenant plus de dix semaines, le retrait pur et simple. Rien sur la suppression des postes. Rien sur le projet de contrat doctoral. Et le démantèlement de l'Université et des grands organismes de recherche se poursuit.
La mobilisation pourtant ne faiblit pas : plus de 4000 chercheurs s'engagent à ne plus effectuer d'évaluations pour l'ANR et l'AERES ; la ronde des obstinés n'en finit pas de tourner ; partout en France, sur les campus ou en ville, des actions rappellent notre détermination.
Valérie Pécresse refuse de prendre en compte nos revendications mais dit s'inquiéter des conséquences d'un mouvement dont elle est la seule responsable. Brandissant la menace du semestre blanc et des diplômes dévalorisés, elle tente de nous diviser et de discréditer nos actions.
Plus que jamais, nous devons montrer au gouvernement que nous ne sommes pas dupes et que nous ne céderons pas.
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